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07/06/07 - DISCOURS de Jean DIONIS, réunion publique d'Agen

Publication : 08/06/2007  |  00:00  |  Auteur : Jean Dionis


Chers amis,


D’abord merci !
Merci d’être nombreux ce soir pour notre réunion publique de fin de campagne. Je reçois votre présence d’abord comme un signe d’amitié personnel que vous envoyez à Bernard et à moi-même.

Je la reçois ensuite comme un signe de votre mobilisation pour faire gagner nos convictions communes.

Et justement, parlons d’abord de ces convictions qui nous animent, de ces valeurs qui nous font vivre, et dont je veux vous parler prioritairement ce soir. Je vous dois une position claire à l’issue de l’évènement majeur qu’a été l’élection de Nicolas SARKOZY à la présidence de la République.

Les Français ont choisi, à une large majorité et avec une participation très élevée, Nicolas Sarkozy comme président. Le Lot-et-Garonne a fait le même choix.

Ce choix est d’abord celui d’une personnalité.
Les Français ont reconnu sa compétence et son dynamisme. Ils ont perçu que N. Sarkozy était bien mieux préparé à assumer les responsabilités présidentielles que sa compétitrice socialiste. Dans la campagne, N. Sarkozy s’est montré homme de dialogue et d’écoute des attentes profondes du peuple français dans sa vie quotidienne : pouvoir d’achat, valorisation du travail, refus de l’assistanat et de la fraude, sécurité.

Ce choix est ensuite le choix clair d’un projet.
Les Français ont choisi un projet centré autour des valeurs de travail, de mérite, d’entreprise et de culture de résultat qui sont aussi les miennes et qui expliquent mon soutien à N. Sarkozy au second tour. Ce projet leur a paru tout simplement plus crédible à l’heure de la mondialisation alors que le parti socialiste restait enfermé dans une vision d’un autre âge où l’Etat serait la réponse centrale à toutes les difficultés rencontrées par nos concitoyens.

Cette campagne bouleverse en profondeur la vie politique française.

• Elle bouscule d’abord le Parti Socialiste. Pour la troisième fois consécutive, le PS échoue à l’élection présidentielle, élection majeure et structurante du système politique français. Ce parti paie l’ambiguïté et l’archaïsme de son projet qui est le même depuis les années 70. Le PS n’échappera pas à des choix fondamentaux et difficiles entre la vieille stratégie d’union de la gauche et une position social-démocrate claire.

• Cette campagne dévoile ensuite, avec la percée de F. Bayrou au 1er tour, le potentiel électoral et politique d’un centre indépendant et appelé à terme à être force de gouvernement. Le message de la campagne du 1er tour de F. Bayrou sur l’importance du rassemblement des Français pour résoudre nos difficultés les plus graves (notamment la dette, la priorité absolue à l’éducation…) ne doit pas être oublié. J’ai même le sentiment que Nicolas Sarkozy, qui a fait le même constat, le met et le mettra en œuvre avec ardeur.

• Cette campagne marque, enfin, le recul du Front National, le tassement de l’extrême gauche, l’effondrement du parti communiste, celui de l’écologie politique trop engagée à gauche alors même que la prise de conscience des Français sur les enjeux écologiques n’a jamais été aussi forte.

Voilà la nouvelle donne, la nouvelle photo des rapports de force politiques en France.

Mais cette grande aventure qu’a été l’élection présidentielle, je ne l’ai pas vécue comme un journaliste.

Je l’ai vécue et je la vis comme un citoyen engagé, comme un militant. Et les lot-et-garonnais que je rencontre dans cette campagne législative depuis 5 semaines, ne s’y trompent pas.



J’ai rencontré des agriculteurs, des commerçants, des ouvriers, des mères de famille. Avec Bernard, nous menons une vraie campagne de terrain. Dans cette campagne, nous prenons le temps d’écouter et de visiter aussi ceux qui font vivre nos quartiers, nos entreprises, nos maisons de retraite et aussi les marchés de nos villes.

J’ai animé à ce jour 12 réunions publiques et je me suis rendu dans les 70 communes de la circonscription. J’en ressors marqué par le caractère presque exclusivement politique de cette campagne.

« Jean, est-ce que tu soutiens SARKO ? »

« Jean, qu’est-ce qu’il nous fait ton Bayrou ? Est-ce que tu es toujours avec lui ? »

Voilà les 2 questions que j’ai entendues en boucle pendant ces 5 semaines à Castelculier, à Agen, à Nérac, à Vianne, …

Ce soir encore, je souhaite vous parler clair…

Commençons par : « Jean, est-ce que tu soutiens SARKO ? »

Réponse :

Oui, point.
Oui, sans ambiguïté aucune.

Oui d’abord, parce que c’est mon vote au second tour de l’élection présidentielle qui donne la réponse à cette question.

Je me suis prononcé le mercredi 25 avril pour Nicolas SARKOZY. J’appartiens donc de fait à la majorité présidentielle. Cette prise de position est cohérente avec mes engagements de 2002 et les positions publiques que j’ai adoptées tant à l’Assemblée Nationale qu’au sein même de l’UDF.

Et je crois pouvoir dire que j’ai fait preuve de plus de cohérence et de constance politique que beaucoup d’autres. François BAYROU lui-même me le reconnaît bien volontiers.

Cette prise de position en faveur de Nicolas Sarkozy n’est pas un engagement superficiel, pris du bout des lèvres pour des questions d’opportunité. Je compte m’engager, pour la durée du mandat, pour le succès du projet présidentiel choisi par les Français à l’Assemblée Nationale, comme je l’ai fait pendant 5 ans. Je renouvelle devant vous ce soir mon engagement de soutenir les gouvernements à venir.

Pour le reste, si les électeurs me renouvellent leur confiance, j’arriverai dès le 18 juin au Parlement avec la volonté de participer de manière constructive à la mise en œuvre du projet présidentiel.

J’y apporterai ma contribution de centriste. Une contribution libre et originale, comme j’ai essayé de le faire pendant 5 ans.

Nicolas SARKOZY aura besoin de députés travailleurs et bien branchés sur la France du terrain.

C’est notamment pour cela que j’ai pris la décision, si je suis élu, de m’inscrire et de travailler au sein du groupe parlementaire que vont former les centristes de la majorité présidentielle.

J’ai entendu ces dernières semaines une deuxième question :

« Jean, qu’est-ce qu’il nous fait ton Bayrou ? »

Là encore parlons clair :
J’ai soutenu BAYROU de toutes mes forces dans sa campagne de 1er tour. Cet engagement, malgré des débats et des divergences qui annonçaient ceux d’aujourd’hui, était naturel au regard de mes 16 années de militantisme à ses côtés.

Cette campagne de 1er tour, ceux qui l’ont partagé ont le droit d’en être fiers. Les idées « orange » n’ont pas fini de faire leur chemin et j’espère pouvoir moi-même les porter au Parlement : que ce soit sur le clivage droite/gauche, sur la priorité au redressement des finances de la France ou encore sur la priorité absolue à donner à l’éducation de notre jeunesse, on fera de la politique différemment en France après cette campagne de l’élection présidentielle.

Nicolas SARKOZY l’a d’ailleurs bien compris et je tiens à saluer la manière dont il a construit son gouvernement : parité hommes/femmes, postes-clé confiés à des personnes issues de l’immigration – pensez au symbole qu’est Rachida DATI, notre nouveau Garde des Sceaux – et enfin ouverture au centre et à la gauche.

BAYROU l’avait dit. Je suis heureux que SARKOZY le fasse.

Mais je vous le dis avec la même force de conviction, je revendique aussi le droit de dire mon désaccord total avec la gestion de l’entre deux tours faite par François BAYROU.

En posant deux gestes éminemment symboliques et politiques, le débat avec Ségolène ROYAL et la phrase «je ne voterai pas Nicolas SARKOZY», François BAYROU est sorti du chemin qu’il avait tracé lors de sa campagne du 1er tour, chemin d’équilibre entre la droite, le centre et la gauche.

A tous ceux, prompts à dénoncer le manque de courage des députés UDF sortants, j’insiste sur ce point : je n’ai pas varié entre les deux tours de la présidentielle et j’en veux à François BAYROU de l’avoir fait.

Il était porteur de cet équilibre ; il aurait pu tolérer des engagements de ses partisans à droite et à gauche imposés par le manichéisme du 2ème tour de la présidentielle. Mais lui, en aucun cas ne devait se départir de sa ligne initiale, à savoir : pas de consigne de vote.

La suite, vous la connaissez : un conflit dur avec la très grande majorité des députés UDF sortants qui ont vécu ce changement de ligne politique, sans aucune concertation, comme un abandon en rase campagne.

Dans ce conflit, j’ai veillé à garder rigueur, dignité et dialogue avec François BAYROU à qui je conseille, à chaque fois que j’ai un contact avec lui, de revenir à la ligne politique qui a fait son succès au 1er tour.


Pour finir sur cet exercice de vérité sur mes convictions après la présidentielle, disons un mot de l’UDF et du MoDem.

J’ai ma carte UDF en poche depuis 16 ans, c’est dire mon attachement à cette famille politique.

Je tiens peut-être plus qu’à beaucoup d’autres choses, aux valeurs de fidélité et de loyauté. Mais ces valeurs s’appliquent d’abord aux convictions.

Je suis aujourd’hui à l’UDF, et je mène cette campagne législative en revendiquant avec fierté cette identité.

Quant au Mouvement démocrate, il importe d’abord de voir sur quelle ligne politique il se construit. François BAYROU a d’ailleurs senti la critique monter contre la confusion, la précipitation et le manque de démocratie interne dans laquelle ce mouvement était lancé. Et il a justement reporté sa création au mois d’octobre prochain.

Si le MODEM se construit en opposition à la Majorité présidentielle et dans le cadre d’une alliance entre le Mouvement démocrate et le Parti socialiste, je n’en serai pas.

Voilà mes amis, l’explication que je vous devais ce soir.

Vous le voyez : ce parcours peut supporter bien des critiques, mais pas celle de l’incohérence. Dans l’environnement politique qui bouge beaucoup, mes convictions, ancrées, et mes engagements pris devant vous me servent de boussole.


Ceci dit, je n’ai pas de leçons de cohérence politique à recevoir des socialistes et notamment des socialistes lot-et-garonnais.

Je persiste et je signe : le PS lot-et-garonnais, c’est le « PS-canal archaïque » !

Vous savez un petit peu du genre à subir trois défaites électorales de suite et de continuer à vous chanter : « tout va très bien Madame la Marquise ! » et à continuer nous proposer leur même rengaine et sornettes économiques sans se rendre compte que les temps changent, que les Français changent.

Je n’aurai pas la cruauté de balayer tous les secteurs où le logiciel socialiste est aujourd’hui hors d’usage.

Mais posez-vous une question : pourquoi les socialistes lot-et-garonnais font-ils campagne sur les enjeux locaux, sur le rond-point « tartemuche » ou sur tel virage de nos départementales ?

Il y a, bien sûr, une part d’habileté mensongère dans cette campagne. Le député a des responsabilités législatives mais il n’a pas de responsabilités exécutives localement.

Depuis la décentralisation en 1982, ce rôle appartient aux Présidents des exécutifs des collectivités locales (Conseil Régional, Conseil Général, Intercommunalités…). Ce sont eux qui doivent concevoir et porter les projets de développement locaux.

Le Député, qui a une influence surtout s’il est un législateur actif, n’est en fait qu’un facilitateur de projets.

Et d’ailleurs, j’ai pris toute ma part de travail dans ce domaine.

En choisissant cette stratégie de campagne, le Parti Socialiste lot-et-garonnais organise la confusion entre les élections.

Imaginer les députés de 2007 comme des notables locaux qui prennent le train d’Agen pour Paris avec leurs gabardines et leurs chapeaux mous pour aller chercher les subventions dans les Ministères, à l’instar des députés de 1950, relève d’une vision dépassée du mandat de député.

En cela, le candidat Christian DEZALOS, je ne dirai pas forcément la même chose de l’élu local, incarne vraiment le « PS-canal archaïque ».

Et le pompon de l’archaïsme, nous l’avons atteint hier lorsqu’il nous parle de ses projets infrastructures pour la circonscription et reprenant de manière désespérante les contresens de Guy Saint-Martin en la matière :

Je le cite :

« Pour la Ligne à Grande Vitesse Bordeaux-Toulouse, je ne suis pas pour une nouvelle ligne. »

Stupéfiant ! Tous les territoires de la France sont en compétition pour se brancher au Réseau TGV et nos socialistes locaux s’assoient sur la perspective de mettre Agen à 2h20 de Paris en train et balaye ainsi d’un revers de main tous les avantages économiques, écologiques et sociaux d’un tel développement !

Mais, il y a plus grave : si le Parti Socialiste lot-et-garonnais fait campagne de la sorte, c’est tout simplement parce qu’il n’a plus rien à dire aux agenais et aux habitants de l’Albret sur les enjeux européens et nationaux.

Alors me direz-vous, c’est normal, ils viennent de perdre l’élection présidentielle et accusent le coup de cette troisième défaite consécutive. J’entends bien cet argument, qui a une part de vérité, mais il ne va pas au fond de l’analyse.

La réalité est plus cruelle encore pour le Parti socialiste.

Leur modèle économique et social, tel qu’il a été porté à l’élection présidentielle, d’ailleurs non sans courage par Ségolène ROYAL, est apparu dépassé aux yeux d’une majorité des Français.

Mobiliser par la dette ou l’emprunt 60 milliards d’euros, les redistribuer (l’imagination des socialistes sur ce point est infinie !) et imaginer que cela puisse produire de la croissance, c'est-à-dire des richesses et de l’emploi, cela a fonctionné.

C’était en 1929, au Etats-Unis, dans le cadre du « New deal » de Franklin Roosevelt et dans le cadre d’un immense marché intérieur et d’une économie complètement fermée.

Aujourd’hui, dans l’économie mondialisée dans laquelle l’économie française est immergée, cela ne marche plus.

Il existe le même désarroi socialiste sur des problèmes sociétaux majeurs comme l’immigration, la sécurité, le retour à l’emploi ou le logement…

Alors, je vous en prie, confirmons l’essai du 6 mai et mobilisons-nous pour donner une majorité forte, ouverte et active au Président. Ne cédons pas aux sirènes du PS qui cherche à nous faire croire que l’enjeu de ce scrutin est de savoir si tel ou tel pont sera réalisé dans les 5 ans : que les élus locaux, de tous bords, fassent leur travail. Tous ceux qui m’ont sollicité pendant 5 ans savent que, quand on m’appelle, je réponds présent.

Demain, tant de vrais chantiers urgents nous attendent :


 Construire une démocratie irréprochable et changer la manière de faire de la politique

 Conforter les services publics au service de tous les Français

 Créer une société de respect

 Réhabiliter le travail, atteindre le plein emploi, donner du pouvoir d’achat

 Faire de l’école le pilier de l’égalité des chances

 Réussir dans la bataille mondiale de l’intelligence

 Préserver l’avenir des générations futures, notamment par une grande politique de développement durable

 Créer plus de richesses au service de la fraternité et de la solidarité

 Retrouver l’Europe que nous aimons

 Et enfin, Être à la pointe des nouveaux enjeux mondiaux



Là voilà, la feuille de route de la nouvelle majorité présidentielle.

Comptez sur moi pour la promouvoir en faisant entendre et respecter la voix de l’Agenais et de l’Albret.

Je vous promets aussi de continuer d’être un député travailleur.

Je vous propose d’ailleurs une profession de foi en forme de contrat en vous disant de manière transparente, avant l’élection où je compte investir mon énergie au service de la France, au service de l’Agenais et de l’Albret, bref à votre service.

Ce contrat, je vous l’ai envoyé avec mon journal et ma profession de foi, le voici :
AGIR AVEC VOUS

1. Je ferai de l'Agriculture une priorité de mon mandat et défendrai nos agriculteurs dans les négociations de sortie de la PAC

2. J'agirai pour assurer à NOS AINES une vie décente et digne (retraites, vie et soins à domicile, solidarité nationale pour la fin de vie des plus modestes)

3. Je m'engagerai pour faire de la France, une terre d'excellence écologique en m'impliquant sur les textes relatifs à l'énergie (biocarburants dont les Huiles Végétales, énergies renouvelables…)

4. Je poursuivrai mon travail législatif concernant les technologies de l'information et de la communication (Internet, téléphonie mobile, télévision numérique, etc…)

5. Je poursuivrai mon action en faveur du développement économique et social d'Agen-Nérac en étant promoteur et facilitateur de projets (nouveau technopôle agroalimentaire, création d'un pôle bioénergies en Albret, poursuite du développement universitaire agenais…)

6. Je travaillerai à l'amélioration de la desserte de l'Agenais et de l'Albret (contournement d'Agen, 2ème échangeur autoroutier, LGV Bordeaux-Toulouse, pérennisation et développement de l'aéroport d'Agen)

7. J'aurai une pratique politique audacieuse : réceptif (écoute et présence sur le terrain), réactif (culture du travail et du résultat), rendre compte (journal semestriel, une présence Internet innovante, des visites communales, des forums citoyens, etc…)

8. Je m'engage à être aux côtés des plus modestes et des plus isolés d'entre nous (être la relation de ceux qui n'en ont pas)

9. J'animerai une équipe parlementaire disponible et compétente

10. Je me mettrai à la disposition des enseignants d'Agen-Nérac pour participer, à leurs côtés et s'ils le souhaitent, à leurs cours d'instruction civique, sur le terrain et à l'Assemblée

Voilà mes amis. La France bouge, le train du mouvement, le train du changement est maintenant en marche. C’est à nous qu’il revient d’y faire monter le Lot-et-Garonne.

Et entre nous, évitons-nous le contre sens incroyable que serait l’élection d’un candidat opposé à ce changement.


C’est pourquoi, je vous le demande :

Mettez-vous en campagne, faites-le pour la France, faites-le pour Nicolas SARKOZY, notre Président, faites-le pour vos convictions et vos valeurs. Et si vous le permettez, faites le pour Bernard et pour moi.

Ne vous laissez pas endormir par tous les discours que vous entendrez dans la rue et dans les médias annonçant un succès prévisible.

Personne n’est en mesure de dire rationnellement ce qui se passera dimanche.

Et puis, même si cela doit nous faire mal, nous ici à Agen, nous avons payé pour voir ce qu’il en coûte de laisser passer des victoires à portée de main. Alors, s’il vous plaît, on ne refait pas Agen-Narbonne, on ne lâche rien ! Nous avons encore 10 jours de campagne commune à faire.

Je vous donne d’ailleurs rendez-vous pour une superbe fête de fin de campagne jeudi prochain, le 14 juin, à 20 heures au Parc des Expos d’Agen. Et là nous pourrons accueillir dignement chacun d’entre vous.

Chers amis, le soir du 17 juin, la France mérite une victoire large, l’Agenais et l’Albret aussi.

Bernard et moi vous faisons confiance et vous disons par avance un immense merci pour votre soutien.

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