C'est aux côtés d'Alain Rousset, président de la région Nouvelle Aquitaine et de Jean Dionis, Président de l'Agglomération d'Agen que des acteurs du monde politique et économique ont débattu, jeudi soir, devant près d’une centaine de personnes autour des conséquences sur le territoire agenais de l’arrivée de la LGV à Bordeaux l’été prochain.
Si cette liaison ferroviaire plus rapide avec la capitale (3 h 10 depuis Agen) a été saluée par tous les intervenants « comme une bonne nouvelle », « une source supplémentaire d’attractivité sur les plans du recrutement des cadres et des compétences intermédiaires mais aussi du tourisme », les échanges ont aussi porté sur la construction d’une ligne à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse, la construction d’une gare spécifique ou encore l’amélioration de l’actuelle à Agen.